Comment affronter son

Je prenais le temps de faire ce que je voulais sans attendre personne, sans chercher à savoir s’il faut rendre compte à un supérieur à l’image du président de la république.
S’il faut noter ou pas un entretien que j’ai pris le temps, énergie pour vivre avec les personnes présentes, le choix reste à mon échelle personnel, de noter ou s’en passer des grands points de l’entretien.
Le problème que j’ai souvent suite à cette croyance, semble en avoir dans le besoin pour compléter un travail qui nécessite que j’en fasse mieux que ce qu’on m’attendait déjà de moi.
Quand je prenais le soin d’écouter un livre, puis le moment de tirer quelques notions pour forger mes arguments une semaine après, et de se rendre compte que cela n’est plus possible.
Au moment qu’une citation semble mieux trouver sa place, je me rappelais que je n’avais pas pris le soin de noter.
Et c’est ainsi qu’un travail comme rédaction d’un rapport se présente à moi.
Par où commencer avec un premier essai, s’il faut présenter de toute façon cela.
A en croire, je remarquais que le passé me rattrapais.
Dans ce cas, comment affronter son premier essai ? Comment affronter ses démons intérieurs ?
Comprendre comment affronter ces démons
Supposez un instant que vous allez à une rencontre avec vos amis, autour de cette rencontre, on décide quand même que vous êtes celui à qui devrait confier le rôle de rapporteur.
A y regarder de plus près, vous avez compris en amont ce qui vous attend déjà, une responsabilité qui semblerait être atteinte avant la fin.
C’est à peu près de vous faire sortir de votre zone de confort.
Pas question que vous soyez assis désormais à vous soucier nécessairement de tout ce que vous pouvez entendre de la bouche d’un conférencier avez-vous dit.
Maintenant, votre rôle consiste désormais à tenir un crayon en mains, un carnet à côté, à l’image d’un collecteur d’impôt, vous ne voyez plus la réalité de la même façon.
Sinon, une première préoccupation pouvait vous déranger, c’est par ou commence véritablement par écrit, puis l’autre souci, votre crainte de ce que les gens allaient penser de vous une fois à la présentation.
Désormais, vous n’avez plus accès à Facebook n’importe comment.
Toute votre attention se porte sur un travail collectif qui exige de vous un minimum d’effort.
En passant, vous allez confronter également à ce même scénario en face pour cette fois-ci de vos camarades de classe
Quand le professeur une fois à son arrivé, d’un instant à l’autre, après avoir entendu avec vous sur ce que vous faites le jour, exige que le travail soit fait en groupe.
Entre vos camarades maintenant, vous êtes surpris de rendre tout ce qui devrait être dites le jour-là.
Vous avez dit non dès que vous pensez avoir cette responsabilité sous le coup simultanément.
Pour vous, rien n’a été pire que ce moment, surtout si vous n’étiez pas préparés.
Pourtant, à y regarder avec un œil différent, vous pouvez constater que cela ne venait pas de vous, mais vous regardez déjà votre difficulté à savoir par où commencer, par quelle manière opérer les grandes lignes.
Si votre refus semble au rendez-vous, c’est à croire aussi que votre insistance à accepter apporte un bénéfice dont vous ne passez pas aujourd’hui, même si cela n’a jamais été votre habitude d’accepter facilement se présenter devant.
Si ça été bien à votre niveau personnel, il n’en fallait pas écarter les démons intérieurs, mais qui sont-ils ?
Eh bien, la peur qui s’installe de façon naturelle, à penser à ce que les autres en face de vous allaient murmurer.
Parfois, c’est en plein bavardage que vous entendez déjà des chuchotements à votre personne.
L’autre démon au rendez-vous, c’est le doute qui vous ronge.
Si vous avez construit votre message correctement.
Si vous n’avez pas fait des erreurs de vocabulaires qui n’en valaient pas la peine.
Autant de doute sur tel ou autre pour empêcher votre tranquillité intérieure.
Par contre, vous allez voir dans le même temps que c’est en marchant un bébé , à tomber, à tomber encore, à se relever qu’il se perfectionne avec le temps.
Soit vous le voyez déjà à le faire, soit c’est à croire que rien n’arrivera aussi facilement sans poser aucun geste.
Et c’est de la même façon que votre expérience se produire.
Plutôt que de rejeter les émotions, accepter que ça fasse partir du processus soit déjà bien.
Maintenant, comment affronter son premier essai ?
Passez à l’action sans attendre longtemps
Prenez votre expérience en main, sans autant attendre le meilleur que vous imaginez à première occasion.
Sachez que le joueur messi n’arrive pas du jour au lendemain le meilleur.
Restez en action avec ce que vous avez déjà, améliorez-vous à mesure que le temps passe.
Par exemple, en prenant interface Facebook à son début, c’est totalement différent de ce que vous observez aujourd’hui, sinon c’est à mesure que le temps passe que s’est s’amélioré.
Passez à l’action…
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https://www.europe1.fr/technologies/En-2004-Facebook-ressemblait-a-ca-643360
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