Comment aller à l’essentiel ? Ces 2 moyens

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A grand jamais, au moment où, je suis terriblement efforcé de quitter chez moi, dans une intention claire, aller rapidement, écouter ce qu’il a, à  me dire, à nouveau, et s’en passer d’une telle situation même si mon sommeil a été arraché en amont.

C’est parfois terrible également, quand je fus patient d’entendre en avance, que vous avez à peine une poignée de minutes, pour aller au-delà, de ce que je souhaite partager, tout en ayant la conviction que cela pourrait changer quelqu’un même si je n’ai pas l’air de prêcher au peuple d’Israël.

Pourtant, il suffit de regarder de près, de voir, du moment vous êtes déjà aperçus, qu’il ne faut pas badiner avec la génération actuelle, avec le réflexe de n’avoir aussi du temps à perdre, c’est aussi évident que je  passe de ce message tant préparé.

Par ailleurs, à quoi attend-on, si je me mets à baratiner davantage sur un aspect que je compte déjà en parler, pour entrer mes interlocuteurs dans le fond ? Devrais-je continuer à sous-estimer celui qui détient, à sa manière l’heure à laquelle je dois m’effacer ? Ou devrais-je prendre le recul, et de comprendre que les choses pouvaient se passer autrement ?

Je fus surpris, et étonnamment vrai que certains enseignants avaient le courage, la bravoure de dire, monsieur ! Vous en avez pour quelques minutes.

Avec le sentiment que celui-ci, allait déjà au préalable prononcer sur cette énigme, je m’efforce  d’improviser, à trouver que c’est évident que je me retrouve dans une situation où, je n’ai plus le choix de plier, malgré aussi ces choses qui ont été dites a la base.

Conscient que j’ai quelques coéquipiers, autrement des camarades de classe, avec qui je suis contraint de partager le travail fait, et aussi m’assurer, que chacun a sa part de gâteau, comme celui des acteurs du capitalistes, qui doivent veuillez à ce que les quelques billets vert, ou rouge soient partagés entre les restes, peu importe la taille, et le nombre de papillons attrapés a longueur de la journée.

Bref, le travail fut aussi bien structuré, et cela est ensuite partagé avec les amis, même si d’autres par crainte d’imaginer tous les scenarios qui pourraient se présenter, décident de garder un œil sur la façon dont se déroulera.

Le moment se rapproche, avec la sensation quelques part, que chacun a pu donner le meilleur de lui-même, il n’y a plus à remettre les choses à leurs place, telle que laisser entre les mains d’un instituteur rigoureux, qui doit assurer en parallèle mes gestes et actions vis-à-vis de camarades d’une classe dès mon premier jour de la classe.

Evidemment que c’est notre tour, et ce que j’entendais qui se résume ainsi dans ma tête, prendre la parole, laisser l’assistance écouter ce qu’on va partager, ou présenter l’exposé, défier quelques sceptiques qui voudraient en savoir davantage, et ranger le travail désormais dans les archives.

Mais est-ce que les choses se passent de la sorte ?

A mesure que les choses commencent, les choses ? Non. Plutôt des que je commence par pavaner, je pris la parole, et me voici en train de surfer, l’une après l’autre, et laissait la parole comme cela a été convié à une autre personne.

Celui-ci aussi finit de parler, avec aussi le sentiment de parvenir à  dire tout ce qu’il est censé, à décrire dans un laps de temps, mais le train n’ira pas loin désormais.

Je venais d’entendre une voix, vous en avez que pour 5 minutes.

Certes, je me voyais presque en train de terminer, nécessairement que les autres aussi, ont des passages à lire.

Etant donné que la circonstance exige que les autres finissent au plus vite, je ne pensais a une seule chose, Devaient-ils avoir la gentillesse d’aller à l’essentiel ?

Ou devraient accepter, que l’heure n’a pas été juste envers le moment, aussi bien par la pression même si c’est des émotions  qui vont et reviennent comme le doute d’une probable attitude de gagnants.

Tout se passe comme convier, avec aussi le sentiment de laisser derrière sois quelque chose.

Pourtant, à quoi pourrait ressembler à cet instant, que  j’ai la conviction de passer non seulement le message, mais aussi de s’assurer que tout ceci se passe dans les prochaines heures qui suivent ?

N’ayant plus le temps de discourir jusqu’au bout sur le message, comme cela a été prévue, doivent-ils s’aventurer toujours de la même sorte ?

Ces 2 moyens pour aller à l’essentiel

Premièrement, dans une circonstance telle que lors d’une présentation de l’exposé, vous pouvez vous recourir au plus vite possible aux points essentiels, qui se manifestent par l’exclusion des exemples.

Par exemple, vous avez mis par travailler sur un sujet tel que le livre d’Albert  camus.

Dans votre développement, il est aussi évident que vous développiez, et pour donner des illustrations, en vue de donner de plus en plus d’impact positif a votre production, vus faites appel à quelques études d’œuvres, de celui-ci mais aussi en parallèle en illustration,  d’autres auteurs ayant furent dans le même cadre, des études.

Ou c’est une compréhension sur un sujet tel que  le président des Etats-Unis comme celui d’actuel.

A mesure que vous développez votre sujet, vous avez certainement l’ambition d’aller au plus profond, et cela nécessite que vous fassiez parler de quelques sceptiques, a contrario de vous focaliser sur l’actuel président des Etats-Unis.

Prenez le soin de mettre par parler, tout en allant à l’essentiel, ici en allant vous intéresser sur ce qui pourrait intéresser le public sur celui-ci, et mettre de côté les autres qui ont été cités comme exemple.

Le deuxième moyen est celui de contracter, sinon si vous avez l’intention de parler, de manière brève, a votre public d’un sujet, qui parait dans les faits en train d’être expliqué axes long, vous pouvez vous recourir tout en allant avec une forme de résumé, aussi simple que cela, avec le sentiment de gagner du temps.

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