Comment utiliser son biais pour rallumer

Si vous aviez été sollicité pour entreprendre une discussion en groupe, que ce soit avec vos camardes en cours de route, dans une salle de cours en train de discuter autour de tout et de rien, il est certain que le moment dure.
Ainsi, avec celui avec qui vous pouvez parler de la manière dont se passera une journée est probablement réglée dans un laps de temps, par la suite se barrer pour se vaquer à une autre occupation.
Ceci étant difficile des fois quand vous pouvez alors en train de cheminer avec votre professeur, et être incapable de parler comme vous avez habitude.
Si avoir le courage de parler de tom and Jerry ou de Harry Potter avec vos amis une fois en groupe est possible, celui de parler avec un supérieur ou un maitre reste souvent difficile pour des préjugées développées.
Pourtant, il pouvait s’agir de parler des notions de sa profession pour vous rendre compte que c’est souvent ennuyant, voire torturant pour supporter.
Et donc, trouver du sujet pour alimenter une conversation s’en est une, l’autre restera comment utiliser des moyens pour garder son interlocuteur pendant des heures durant ? Comment utiliser le biais cognitif pour inciter plus vos interlocuteurs ?
Utiliser ce biais pour semer la panique
Si attirer l’attention de vos interlocuteurs semblent procéder de milles façon, il est certain que celle des médias comme France 24, radio RFI, voire des journaux demeurent violent.
Certes, ceux-ci ont l’intention de vous informer de tout ce qui pouvait passer un peu partout dans le monde, et pourtant, on pouvait se poser la question, si c’est uniquement les mauvaises nouvelles qui s’y déroulent sur la planète ?
Prenez le temps d’observer le nombre de voitures qui circulent dans le monde, tous à vos yeux semblent quitter d’un point a, pour un autre.
Ainsi pour le cas de centaines avions qui atterrissent sans aucun problème quasiment chaque jour.
Et si la tendance reste de vous informer que c’est ainsi qu’il a encore tel attentat à tel endroit a new York, encore moins crime a un lieu improbable dont vous n’avez jamais mis vos pieds, certainement que cela ne devrait pas vous concerner directement.
Sinon, qu’est-ce que vous pouvez voir du moment que vous mettez par remonter le temps a l’ère des chasseurs cueilleurs ?
Un chasseur qui se lève de son lit, avec la certitude de bientôt faire face à la faim, était contraint de chasser, tuer des gibiers pour rapporter à son tribu, sans inquiéter si deux autres tribus sont en train de mourir de faim.
Et cela passe pour d’autres tribus quand il s’agit de s’affronter.
Vous pouvez avoir la certitude qu’ils aient deux tribus en confrontation dans un lieu reculé, mais impossible d’entendre une boite qui s’acharne de vous informer que c’est ainsi que deux chefs venaient d’envoyer une bombe sur la population.
Si la tendance d’informer passe à première vu, vouloir en compter des centaines d’article négatifs ne pouvaient pas vous assurer que vous ayez une opportunité à saisir vraiment.
A peine pouvez-vous dire à votre ami que c’est ainsi qu’il a plus de chances de lancer son projet longtemps en coulisse, et pourtant impossible de passer à l’action sous prétexte qu’il a entendu que le nombre de victime covid augmente.
Comment passer à l’action du moment que vous avez déjà donné votre attention à ces médias ?
Plutôt, ils sont outillés pour explorer le biais négatif.
Si comprendre le cerveau avec le biais négatif peux déformer les perceptions, celui avec pour intention de garder votre interlocuteur que possible reste le biais narratif.
Supposez un instant que vous êtes partis vivre un évènement lors d’une sortie.
A votre retour donc, pendant que vous comptez discuter avec vos amis, lorsque vous parlez ensemble, le moment venait de parler de votre aventure.
Vous aimez raconter votre aventure au point de constater, que cette tendance à vouloir écouter des histoires est toujours présente.
Il suffit que vous preniez le temps d’observer vos amis, certains devraient aimer vivre les émissions télé novelas avec des histoires d’amour à couper le souffle, encore moins des chaines séries.
Le point commun ?
Cette tendance d’écouter des histoires.
Et donc, comment utiliser le biais narratif pour éveiller les temps morts pendant votre conversation ?
Raconter des évènements que vous avez vécus pour illustrer
Commencer par donner de priorités à des anecdotes pour donner plus d’enthousiasme à votre interlocuteur de vous prêter de plus en plus attention.
Solliciter ce qu’il a vécu dans une situation précise pour écouter ses versions des faits.
Cliquez sur le lien pour remarquer l’exemple avec cette vidéo YouTubehttps://www.youtube.com/watch?v=5nczbWsi–Y